samedi 27 octobre 2018

Librairie Aux vieux livres, Châteaugiron
Noëlie Cotteaux, naturopathe à Châteaugiron, sera à la librairie
le samedi 24 novembre de 15h à 18h
pour une séance de dédicaces et dégustation...
Noëlie nous présentera son ouvrage co-écrit avec Save the Green & illustré par Gaelle Bizeul,
"Thés, tisanes et boissons santé" éditions Eyrolles. Parution le 08 novembre.

jeudi 25 octobre 2018

Stéphanie Vincent-Langlois 

Bientôt en dédicace à la librairie pour la parution de son magnifique et remarquable ouvrage :

"Trésors enluminés de la Bretagne au Moyen âge" parution le 26 octobre. 

Un travail exceptionnel !📜

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samedi 20 octobre 2018

Rentrée Littéraire Automne 2018

Vendredi soir, à la médiathèque, présentation de la Rentrée Littéraire :
Vous étiez nombreux ! C'était une belle soirée et nous le referons !

vendredi 19 octobre 2018


RENTRÉE LITTÉRAIRE à la médiathèque "Les Halles" de Châteaugiron.

Le vendredi 19 octobre, à partir de 19h30, dans une ambiance cosy et chaleureuse, en partenariat avec Camille Hacquard de la librairie "Aux Vieux Livres", la médiathèque vous propose une soirée "Rentrée littéraire" lors de laquelle nos nouveautés, en littérature française et étrangère, vous seront présentées, autour d'un verre. Le violoncelle de Fabrice Fosse viendra ponctuer la soirée. 
Renseignements : 02 99 00 65 65📖📕📒📚📙

mardi 11 septembre 2018



Flash Info



[Communiqué]


Le Syndicat de la librairie française alerte les jurés du Prix Renaudot
sur les conséquences de la sélection d’un livre autoédité par Amazon

Le Prix Renaudot a dévoilé la semaine dernière une première sélection de 17 romans dont Bande de Français de Marco Koskas, ouvrage auto-édité sur la plate-forme d’Amazon. Par ce choix, le Prix Renaudot sait-il qu’il rend un bien mauvais service à l’auteur lui-même, aux libraires et donne un signal inquiétant pour l’avenir de la création et de la diffusion du livre ?

En premier lieu, ce titre, diffusé en exclusivité par Amazon, n’est, de ce fait, présent dans aucune des 3 500 librairies françaises. Comment priver un auteur du premier réseau de vente de livres en France quand l’objet d’un prix littéraire est de promouvoir auprès du public les titres sélectionnés ?

La commande de ce livre est techniquement et commercialement quasi impossible pour les libraires. Moralement, surtout, ceux-ci refusent de « se jeter dans la gueule du loup » car Amazon n’est pas un concurrent comme les autres. Il ne veut pas seulement s’imposer comme un acteur important du marché du livre, il veut devenir le marché à lui tout seul en éliminant ses concurrents, en organisant une concurrence déloyale, en échappant à l’impôt, en contournant le prix unique du livre et en remplaçant tout à la fois les éditeurs, les distributeurs et les libraires.

Ce modèle entraîne un risque réel pour la création et la diffusion du livre elles-mêmes. Certes, l’organisation actuelle de l’économie de notre secteur est perfectible, particulièrement pour les auteurs, les éditeurs indépendants ou les libraires. Mais combien est plus trompeur et plus sinistre le monde rêvé d’Amazon. Plus de hiérarchie entre les oeuvres, réduites à un simple identifiant sur une plate-forme, plus de ligne éditoriale mais des millions de titres accumulés sans repères, plus de présence du livre dans ces lieux vivants de « commerce » au coeur des villes et des quartiers, plus de passeurs engagés pour porter les oeuvres et les auteurs auprès des lecteurs, un algorithme sophistiqué et des entrepôts au lieu de la parole échangée.

Chers jurés, vous êtes écrivains. Comme nous, vous aimez les livres. Comme nous, vous défendez la création, par exemple en sélectionnant des premiers romans ou des titres de petites maisons. La renommée du Prix que vous portez vous confère une responsabilité particulière. Défendez le livre et non ceux qui le menacent.

jeudi 30 août 2018

Atelier d'écriture animé par Dan Advocat 

le mercredi 17 octobre de 15h à 17h. 

Réservation conseillée/places limitées

mercredi 25 juillet 2018

COUP DE COEUR Jérôme Chantreau "Les enfants de ma mère" éd. Les Escales parution le 23 août

Libraire des premières heures, je rencontrais un érudit qui me demanda : « Avez-vous lu Marcel ? ». (Je pensai, lequel ? Moustache ou chapeau ?). Lacune avouée, je m’attaquai donc à ce monument de la littérature « A la recherche du temps perdu ». Je lus les 3 premiers tomes en 15 jours avec beaucoup d’intérêt ! Mais une réflexion de cet érudit me stoppa dans cette course de « A la recherche… ». Il était proustien ! Qu’est-ce ? Une personne qui lit et relit et rerelit Marcel Proust… Il en était à sa cinquième lecture (7 tomes, 2408 pages, 1,55kg X 5) ! A chaque relecture, il redécouvrait une œuvre et m’avoua qu’il ne pourrait plus lire d’autres auteurs ! Finir « A la recherche » ? Et s’il m’arrivait la même chose ? Et si je devenais proustienne ? Vous imaginez pour une libraire ! Je décidai donc de mettre Marcel de côté pour le reprendre à la retraite. Les années ont passé et, comme tout libraire, j’aime dénicher, parmi les nouveaux auteurs, la petite perle, une richesse parmi les premiers romans. Il en fut ainsi pour Jérôme Chantreau avec son premier roman « Avant que naisse la forêt » Ed. Les Escales 2017, parution en pocket, le 06 septembre 2018. Vous avez, pour certains, rencontré l’auteur au Festival du livre et de l’imaginaire à Châteaugiron. Je termine, je termine… Le privilège du libraire, c’est de lire les livres avant parution, autrement dit, avant vous ! ðŸ™‚J’ai lu le second roman de Jérôme Chantreau « Les enfants de ma mère » Ed. Les Escales, parution le 23 août prochain . C’est à nouveau un véritable coup de cœur, coup de poing ! Je ne terminerai pas le dernier chapitre et j’attendrai comme vous, la parution officielle. Il y a des livres et, c’est rare, qu’on ne souhaite pas quitter. Alors, à défaut de devenir proustienne, je pourrais bien devenir « Chantroise » ! (Bon, pour l’adjectif qualificatif, j’ai pris, pour exemple, le nom des habitants de Concarneau. Je laisse libre cours à votre imagination pour une meilleure proposition).👨‍🏫

mercredi 13 juin 2018

Prochainement à la librairie, 

Dan Advocat revient pour un nouvel atelier d'écriture. 

-Réservation conseillée-


jeudi 17 mai 2018


Prochaine dédicace 

le samedi 09 juin de 10h à 12h,

avec Caroline Pivert qui présentera
ses souvenirs d'enfance,
ses voyages...

La voix de l'océan

Caroline Pivert nous propose « la voix de l'océan », un ouvrage entre le récit de voyages et l'autobiographie. Son cœur en exil y raconte comment cet appel incessant de l'océan fait écho à sa passion pour les îles de sa Polynésie natale et la Nouvelle Calédonie. Dans les plus beaux éclats de cette voix, Caroline perçoit les fous rires de son enfance heureuse entourée de ses parents bien-aimés et de sa sœur. Comme celle d'un ami ou d'un ange gardien, elle la ramènera saine et sauve de tous les « naufrages » de la vie, de l'amour, et de leur apprentissage pour lesquels, et pour notre plus grand plaisir, l'auteur a fait le tour du monde. Nous découvrirons entre autres, l'Egypte, le Portugal, l'Allemagne, Paris.
Au détour des chemins, en Bretagne, dans la force intrinsèque de son paysage, Caroline Pivert achèvera sa route.
Après avoir pris avec Caroline Pivert mille bateaux, mille trains, mille route, c'est sa poésie qui nous emporte le mieux." Editions Gunten.

"Je me souviens de ma famille, aussi, des êtres chers qui ont peuplé ces mondes, tout comme moi. De mon père pilote de ligne, de ma mère hôtesse de l'air, dans cette compagnie d'outre-mer, qui n'existe plus aujourd'hui. De ma sœur aînée Léa, qui avait vu le jour un an avant moi, en Nouvelle-Calédonie, patrie de mes grands-parents maternels, exilés là-bas après la guerre." Caroline pivert.

samedi 5 mai 2018

samedi 28 avril 2018




A lire absolument !

Couverture du livre : La femme murée

"Elle s'appelait Jeanne Devidal (1908-2008), connue sous le surnom de "La folle de Saint-Lunaire". 
En Bretagne, sa maison tarabiscotée, faite de bric et de broc, débordant sur la rue et abritant en son centre 
un tilleul, fut longtemps objet de scandale, verrue dans le paysage de la celte d'Emeraude. 
Aujourd'hui démolie, cette forteresse dérangeante aurait pourtant pu faire reconnaître Jeanne Devidal 
comme un Facteur Cheval au féminin. 
Toujours sensible aux figures de femmes en marge, Fabienne Juhel rend hommage à ce personnage aux nombreuses zones d'ombre : employée aux PTT avant-guerre, résistante torturée par la Gestapo, plusieurs fois internée en psychiatrie. 
Ce récit est construit à la façon Devidal, depuis les fondations jusqu'au mirador, dans une fantaisie inspirée. 
Voici donc un tombeau littéraire, pour une femme qui batailla toute sa vie entre folie et art brut."
éditions Du Rouergue

jeudi 19 avril 2018

Fabrice Mondejar


"Une boite à crayons, un cutter, différents papiers et des histoires à raconter..."F. Mondejar
Photo de profil de Fabrice Mondejar Illustrateur-conteur, L’image contient peut-être : 1 personne, sourit
Dernier ouvrage de Fabrice Mondejar "La Dentellière" éd. Le Chat Griffu

La Librairie Aux Vieux Livres et la Médiathèque Philéas Fogg

vous proposent le mercredi 25 avril 2018,

Une rencontre-dédicace à la librairie Aux Vieux Livres de 14h30 à 16h
avec Fabrice Mondejar, illustrateur et auteur de livres pour enfants
Les ouvrages sont réalisés en papiers découpés. 
Puis Fabrice poursuivra ses dédicaces à la médiathèque Philéas Fogg, 
en compagnie de Fanny Vayer, artiste saintaubinoise 
qui animera un atelier d'arts-plastiques pour les enfants de 16h30 à 18h.
.
Gratuit
Renseignements :
Librairie Aux Vieux Livres 0299376981
Médiathèque 02.99.62.98.39 mediathequedupavail@yahoo.fr

jeudi 5 avril 2018

Tous à vos crayons ! 

Atelier d'écriture pour enfants à partir de 10 ans

"Ecrire une histoire de fiction et repartir avec un écrit"

le mercredi 18 avril de 15h à 17h,  
Dan Advocat, jeune écrivain, animera l'atelier.
Il vous sera demandé une participation de 5 euros par personne.
*Réservation conseillée* 


Le vendredi 20 avrilà partir de 20h30,

Dan revient pour une séance lecture, 

un extrait de sa propre création.

Entrée libre

vendredi 16 février 2018

Grupp: Yves Grevet


Faut-il préferer la sécurité à la liberté? Telle est la question que nous pose indirectement l'auteur de cet ouvrage. Y.Grevet crée une société où chaque individu possède un implant permettant aux dirigeants de le surveiller ("pour sa sécurité"). Grâce à cet implant, il est possible de prévenir et guérir n'importe quelle maladie et d'empécher les accidents. Tous les "sports dangereux" (comme le saut à l'élastique) ont été interdits. Un groupe de jeunes n'apprécie pas d'être constamment surveillé et décide de se rebeller. J'ai beaucoup aimé ce livre car il incite à réflechir. Ici, les citoyens ne sont pas vraiment autonomes: ils sont propriétaires d'un bus qu'ils ne conduisent pas, en quelque sorte.Ce que j'aime dans notre société, c'est qu'on apprend de ses erreurs. Personne ne nous interdit ce qui est dangereux car nous avons nous-mêmes conscience du danger. Pour moi, la liberté est plus importante que la sécurité. Prenons l'exemple de Malala Yousafzaï: un homme lui a tiré dessus parce qu'elle voulait avoir les mêmes libertés que les hommes: elle voulait être libre de pouvoir aller à l'école. Dans Grupp comme dans certaines parties du monde, la peur anéantit la liberté.

Lu et conseillé par Ambre Jourdain